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- La 231 G
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Construites à partir des années 1900, ces locomotives prestigieuses sont en service à la création de la SNCF en 1937 ou dès les années qui suivent, mais elles ont beaucoup évolué, pour les plus anciennes d’entre elles qui ne ressemblent plus à ce qu’elles ont été à l’origine, tandis que les plus jeunes sont dotées de perfectionnements récemment sortis des bureaux d’études.
- Les fameuses Baltic, quant à elles, sont encore au stade de la conception ou des essais, livrées seulement en 1940.
- C’est une époque d’intenses recherches pour la traction vapeur qui doit relever le défi de la traction électrique qui l’emportera en puissance et en vitesse.
Notamment :
La championne toutes catégories de ce réseau prestigieux: beauté, puissance, vitesse.
Elle règne sans partage de 1934 à la fin des années 60, mise en tête des plus beaux trains partant de la gare du Nord pour l’Europe septentrionale.
Née avec le siècle à la Belle Époque, cette machine est l’élégance même.
Et elle saura satisfaire l’exigence sévère des trois 3, un train de 300 tonnes remorqué en 3 heures sur 300 kilomètres.
La dure rampe de Blaisy-Bas lui demandera toute sa force de traction, supérieure à celle des Pacific.
Le réseau de l’Est fait l’économie des études d’une Pacific pour passer directement du type 230 au type 241, tellement le type 230 lui donne satisfaction.
L’excellence d’une locomotive peut donc, parfois, mener à de mauvais calculs.
L’unique et très curieuse 230 carénée du réseau de l’État montre qu’elle est faite pour les fameuses rames allégées dites saucissons, dont elle épouse padaitement le gabarit arrondi en ovale.
Au départ de St-Lazare, vers 1939.
A la conquête de la vitesse, les locomotives- La 231 G |
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